Roubaix. Ville du Nord. Voisine de Lille, la grande, de Tourcoing. Un peu moins de cent mille habitants, quatrième commune des Hauts-de-France, ville d’Art et d’Histoire depuis 2001. Roubaix, très sincèrement, je n’en pensais rien de plus que les clichés qui circulent sur la région. El Kaoutar – Elka – m’en a dessiné une autre version: celle empreinte par la sienne d’histoire, animée par sa population, sa manière de la mêler, de l’édifier. Elka est responsable d’accueil collectif et de projets culturels au sein d’un centre social. Sa spécialité : la magie. Transformer de petits bouts de riens en moyens.
Préjugé : Jugement provisoire formé par avance à partir d’indices que l’on interprète, a priori. Opinion adoptée sans examen, parti pris.
Outre la ville d’arrivée d’une célèbre course cycliste, Roubaix fut un foyer de l’industrie textile en France, le berceau de la vente par correspondance (3 Suisses et La Redoute). Je ne savais pas. Comme nombre d’autres dans la région, elle est « l’une des villes les plus jeunes de France. En 2012, près de la moitié de la population avait moins de 30 ans » (Wikipédia).
« Au centre, je défends donc une éducation populaire basée sur l’échange, l’entraide intergénérationnelle, le respect de l’autre, l’environnement auquel j’ajoute une touche ludique. Je pars du principe que les enfants ont droit à la parole, le droit de tout dire « .
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